Expérience client digitale : comment créer du lien dans un monde dématérialisé ?
Alors qu’il continue de prendre toujours plus de place dans nos quotidiens, le digital a pour effet systémique de modifier drastiquement la manière de consommer et de communiquer, ce qui entraîne un profond bouleversement dans la façon de penser et d’aborder l’expérience client. Une question vient alors à se poser : comment réussir à créer du lien avec les clients en ayant moins de contacts directs avec eux ? Nos experts easiware vous livrent leurs éléments de réponse et leurs solutions pour vous aider à y parvenir.
1. Un lien client à réinventer à l’ère du digital
A. Une relation client de plus en plus dématérialisée
L’accélération de la transformation numérique a bouleversé en profondeur les modes d’interaction entre les entreprises et leurs clients. Directement influencée par l’essor du e-commerce, des services en ligne et des nouvelles technologies, la relation client est désormais largement digitalisée, ce qui modifie de facto les comportements des consommateurs et la manière dont ils perçoivent l’expérience client.
Aujourd’hui, le parcours client se développe majoritairement via des canaux virtuels, avec les sites internet, les applications mobiles, les réseaux sociaux, les messageries instantanées, les FAQ automatisées ou encore les chatbots conversationnels. Ces points de contact digitaux se sont progressivement multipliés pour répondre aux attentes évolutives des consommateurs, toujours davantage en quête d’autonomie, de rapidité et de disponibilité permanente.
Cette évolution répond à un impératif de modernisation, mais elle entraîne également une profonde mutation des liens entre les marques et leurs clients. Les échanges physiques, auparavant au cœur de la relation commerciale, ont désormais tendance à se faire plus rares ou plus courts. Une partie des interactions humaines se trouvent ainsi supplantées par l’instantanéité des échanges numériques.
La digitalisation de la relation et de l’expérience client a aussi été alimentée par l’adoption globale des services numériques suite à la pandémie, par la montée en puissance du selfcare, ainsi que par la normalisation de la communication asynchrone, c’est-à-dire des échanges en différé. Ces usages permettent d’optimiser le traitement des demandes et de réduire les délais de réponse, mais peuvent aussi parfois rendre l’expérience client plus impersonnelle et moins émotionnelle.
Pour les entreprises, cette évolution est à double tranchant. D’un côté, les solutions digitales permettent de gagner en efficacité, d’étendre les horaires de service et de rationaliser les coûts opérationnels. De l’autre, la réduction du contact humain direct comporte des risques, avec des échanges qui sont moins marquants, un appauvrissement de la connaissance client contextuelle, et une difficulté à établir des relations de proximité authentiques.
Dans ce contexte, la relation client digitale a une véritable portée stratégique, et doit se réinventer plus vite que jamais. Les entreprises doivent désormais repenser la façon dont elles interagissent avec leurs clients, en ayant bien conscience du fait que le digital est devenu un espace relationnel à part entière.
B. Des attentes clients toujours plus fortes en termes de personnalisation et réactivité
Bénéficiant d’un accès à l’information et aux services quasi immédiat, les consommateurs sont devenus plus exigeants que jamais. Leur rapport aux marques s’est transformé, et ils ne se contentent aujourd’hui plus d’une réponse standardisée ou d’un service générique. Ils exigent des échanges personnalisés, contextualisés, et une excellente réactivité à chacune de leurs sollicitations.
L’essor du digital a en effet contribué à redéfinir les standards de l’expérience client. Habitués aux pratiques des géants du web et des plateformes numériques les plus performantes, les clients attendent désormais des marques qu’elles fassent preuve d’autant de précision que de rapidité dans leurs interactions. L’immédiateté est devenue la norme, notamment sur les canaux digitaux tels que les messageries instantanées, les réseaux sociaux ou les chats en ligne.
La personnalisation est également devenue indissociable de l’expérience client digitale, et chaque parcours client doit donc être unique en étant adapté au profil, aux préférences et à l’historique de chacun. Les consommateurs veulent que les marques les reconnaissent, qu’elles se souviennent de leurs interactions passées, et qu’elles soient capables de leur adresser des messages ou des offres véritablement pertinents.
Les données client ont donc une importance capitale. Elles permettent aux entreprises de mieux comprendre les besoins individuels et les comportements d’achat, à condition d’être exploitées de manière pertinente. Pour être en mesure de personnaliser l’expérience client, les marques doivent aussi disposer d’infrastructures technologiques efficaces, et être capables d’exploiter les informations en temps réel.
Cette recherche de personnalisation et de réactivité doit être prise très au sérieux par les entreprises, car elle conditionne directement la satisfaction et la fidélité des clients. Faire fi de ces attentes ou ne pas se montrer à la hauteur fait encourir le risque de manquer des opportunités commerciales, mais aussi de fragiliser significativement la relation de confiance qui lie l’entreprise à sa clientèle.
C. Le risque d’une expérience froide et impersonnelle
Si le digital est source d’avantages considérables en termes d’efficacité, de fluidité et d’accessibilité, il présente aussi pour inconvénient le possible appauvrissement du lien humain dans la relation client. À mesure que les interactions se dématérialisent, le risque de proposer une expérience trop standardisée et impersonnelle devient une problématique centrale pour les entreprises.
Avec une connectivité poussée à son paroxysme, les interactions clients se concentrent de plus en plus sur l’utilisation d’interfaces automatisées, des échanges avec des robots conversationnels, ou encore la consultation de FAQ dynamiques. Bien que cela soit bénéfique pour gérer des volumes élevés de demandes ou pour traiter les questions les plus simples, un sentiment de distance peut se créer, et l’expérience utilisateur peut alors perdre en empathie et en proximité.
Ce phénomène est d’autant plus accentué lorsque les parcours digitaux sont conçus sans réelle prise en compte des besoins émotionnels des clients. Un message automatisé, mal calibré ou trop générique, un chatbot incapable de comprendre une problématique spécifique, ou encore une offre de service trop mécanique sont susceptibles de déshumaniser la relation.
L’absence d’émotion et de personnalisation dans les échanges nuit directement à la qualité de l’expérience client digitale. Les consommateurs attendent en effet des marques qu’elles instaurent une relation authentique, fondée sur la considération et l’écoute. Des interactions déshumanisées ou purement transactionnelles laissent souvent une impression neutre, voire négative, car elles ne permettent pas de créer un souvenir marquant ou un attachement émotionnel.
À terme, ce manque de proximité peut nuire à la fidélisation client, et accroître le risque d’attrition. Un client qui ne ressent aucun attachement particulier pour une marque, ou qui ne perçoit pas de valeur ajoutée dans ses échanges numériques, sera beaucoup plus enclin à se tourner vers un concurrent qui propose une expérience plus humaine et plus engageante.
Les entreprises doivent donc impérativement veiller à ne pas délaisser l’aspect émotionnel au profit de l’automatisation et de l’efficience. La technologie doit rester au service de la relation client, et non constituer un obstacle à l’établissement d’un lien authentique. Cette aptitude à amener de la proximité et de l’humanité dans les parcours client digitaux est ainsi un moyen de se différencier en établissant une relation client durable et de qualité.
2. Les leviers pour (re)créer du lien à travers le digital
A. Miser sur l’hyperpersonnalisation des interactions
Loin de se limiter à l’utilisation du prénom dans un email ou à l’envoi d’offres promotionnelles basées sur des historiques d’achats, l’hyperpersonnalisation implique une exploitation rigoureuse et intelligente des données clients pour réussir à façonner des expériences sur mesure. Les logiques de segmentation classiques doivent être dépassées pour établir des parcours individualisés, qui répondent aux besoins et aux attentes spécifiques des clients, le tout en temps réel et sur l’ensemble des canaux.
Une analyse approfondie et continue des données issues de différentes sources est donc indispensable. L’intégration d’outils dédiés, tels que les Customer Data Platforms (CDP) ou les solutions CRM avancées, permet de centraliser et de recouper les différentes informations récupérées, ce qui facilite la compréhension des comportements et des exigences des clients.
L’hyperpersonnalisation n’a cependant pas qu’une dimension commerciale, car elle concerne également la qualité de l’accompagnement et des services proposés. Il est, par exemple, opportun d’adapter les messages en fonction du canal de communication utilisé, du moment de la journée, ou encore des émotions qui ressortent des échanges pour instaurer ou conforter une relation authentique et empathique.
Les chatbots de nouvelle génération, spécialement entraînés pour faire preuve d’intelligence émotionnelle, ou les dispositifs de marketing conversationnel font ainsi partie des solutions très efficaces pour personnaliser les interactions. Ils contribuent directement au renforcement de la satisfaction client, et parviennent plus efficacement à susciter un sentiment de considération et de reconnaissance.
Il reste néanmoins primordial que cette hyperpersonnalisation soit encadrée par des pratiques respectueuses de la vie privée. Le traitement des données doit être transparent et sécurisé conformément à la réglementation RGPD, mais aussi axé sur la création de valeur pour le client. Une utilisation des données perçue comme intrusive ou inappropriée peut en effet avoir l’effet inverse, et aller à l’encontre du sentiment de confiance préalablement établi.
B. Humaniser les points de contact digitaux
La démarche d’humanisation des contacts digitaux est essentielle pour entretenir de la proximité et un lien authentique avec les clients, ceci afin de surpasser les contraintes induites par l’automatisation et de ne pas tomber dans l’écueil des parcours standardisés. L’objectif est de repenser les interactions numériques pour leur donner un supplément d’âme, en intégrant des éléments relationnels et émotionnels qui rappellent au client qu’il est bien en contact avec une marque attentive, capable d’écoute et de considération.
Pour y parvenir, l’un des premiers leviers est de concevoir des messages chaleureux, personnalisés et contextualisés. Les bots conversationnels peuvent, par exemple, être configurés pour adopter un ton plus convivial, moins robotique, le tout en faisant preuve de courtoisie et d’empathie dans leurs réponses. La capacité à reconnaître les limites de l’automatisation, et à rediriger rapidement un client vers un conseiller humain en cas de besoin, est également un élément fondamental de cette humanisation.
Intégrer des éléments de storytelling ou des contenus éditoriaux personnalisés dans les interfaces digitales permet par ailleurs de renforcer l’engagement émotionnel. Des vidéos présentant les équipes en coulisses, des signatures de mails personnalisées avec les prénoms des conseillers, ou encore des messages de bienvenue adaptés aux clients sont autant de moyens simples mais efficaces pour rendre l’expérience digitale plus humaine.
La maîtrise de l’omnicanalité s’avère elle aussi prépondérante, ceci en offrant notamment aux clients la possibilité de passer aisément d’une interaction humaine à une interaction digitale. Une transition fluide entre les canaux de communication démontre la volonté de l’entreprise de s’adapter aux besoins spécifiques et de respecter les préférences de chacun.
La posture et les qualités relationnelles des collaborateurs demeurent enfin des piliers d’une expérience client humanisée. Même à distance, l’empathie, l’écoute active et la capacité à personnaliser les échanges en fonction du contexte et des émotions exprimées par les clients font office de véritables compétences clés pour créer, entretenir et renforcer le lien avec la clientèle.
C. Créer des expériences fluides, cohérentes et mémorables
Se contenter d’être présent sur tous les canaux de communication ne s’avère clairement plus suffisant, il est primordial de garantir la continuité et la qualité de l’expérience client à chaque interaction. À cet effet, l’un des premiers prérequis est de proposer une expérience simple et intuitive, avec des interfaces ergonomiques, des process rapides, et des parcours client sans point de friction qui ne comportent pas d’étapes superflues, et ne laissent pas apparaître de difficultés techniques.
Cette maîtrise technique n’est cependant pas suffisante sans une cohérence de fond. Les informations doivent parfaitement circuler entre les différents canaux pour ne pas contraindre les clients à répéter leurs demandes chaque fois qu’ils utilisent un autre point de contact. Gérer les données de manière uniformisée est ainsi un gage de pertinence, et soutient la personnalisation des échanges en tenant compte de l’historique et des préférences des clients.
Créer une expérience client cohérente, c’est aussi veiller à ce que la tonalité, les valeurs et les engagements de la marque soient retranscrits de façon homogène sur tous les supports et les canaux. Cette constance relationnelle et cette habileté communicationnelle jouent un rôle direct dans l’instauration d’un climat de confiance, et dans le renforcement de l’image de marque.
Mais pour réellement marquer les esprits et tisser des liens forts, il reste nécessaire de réussir à rendre l’expérience client digitale mémorable. Un geste commercial inattendu, un message personnalisé à l’occasion d’une date importante pour le client, comme son anniversaire, ou encore un parcours digital original et innovant font partie des meilleures solutions pour y parvenir.
La capacité à surprendre positivement, à susciter des émotions et à créer des souvenirs marquants est particulièrement bénéfique pour la fidélisation et les recommandations. Insuffler cette singularité par petites touches permet en effet aux entreprises de se démarquer, et de s’imposer comme des références dans l’esprit des clients.
3. Les outils et méthodes pour renforcer le lien digital
A. CRM et CDP : les bases d’une fine connaissance client
Dans l’optique de disposer d’une solide connaissance client, les outils CRM (Customer Relationship Management) et les CDP (Customer Data Platforms) s’imposent comme des solutions technologies indispensables pour structurer et exploiter efficacement l’ensemble des données clients.
Les CRM sont pour leur part utilisés depuis de nombreuses années pour la gestion de la relation client. Ils permettent de centraliser les informations essentielles des clients et des prospects, telles que les coordonnées, l’historique des interactions, les préférences ou les données commerciales. La collecte et la structuration des données au sein de cette base unique facilitent la gestion des échanges, et contribuent à l’amélioration de la pertinence des actions marketing, commerciales et de service client.
Les CDP sont pour leur part utilisés pour consolider et unifier les informations clients en provenance des multiples sources et canaux de l’entreprise. Ils offrent aux entreprises l’opportunité de constituer des profils clients riches, mis à jour en contenu, et directement exploitables pour inclure autant que possible la personnalisation dans les stratégies et les interactions.
Avec leurs fonctionnalités complémentaires, ces deux outils sont aussi mis à profit pour créer des scénarios relationnels très poussés. Il devient ainsi possible d’adapter les communications en fonction du comportement en ligne d’un client, de ses dernières interactions avec la marque, ou encore de ses préférences de contact. Cette contextualisation des échanges et cette automatisation des actions ciblées contribuent directement à l’enrichissement de l’expérience client digitale.
Avoir à disposition cette base de données unifiée, en veillant bien sûr à bien l’alimenter, favorise également l’efficacité opérationnelle des différents pôles. Les équipes marketing et commerciales, tout comme le support client, bénéficient d’un accès partagé à une information fiable et homogène, ce qui évite les silos organisationnels et garantit une meilleure réactivité.
B. L’IA au service du relationnel, pas à sa place
L’intégration de l’intelligence artificielle dans les dispositifs de relation client ouvre de nouvelles perspectives en matière d’efficacité et de personnalisation des échanges. L’une des principales forces de l’IA est qu’elle permet d’automatiser les tâches répétitives ou à faible valeur ajoutée. Elle peut aussi analyser d’énormes volumes de données, prédire des comportements d’achat, générer des recommandations personnalisées, ou encore traiter rapidement des demandes simples.
Ces capacités sont source d’un véritable gain de temps pour les équipes, et soutiennent l’optimisation des parcours clients. Il est aussi possible d’en tirer parti pour renforcer la pertinence des interactions, puisqu’elles fournissent aux collaborateurs des informations clés pour mieux comprendre les besoins des clients, et adapter leurs réponses.
Mais l’intelligence artificielle atteint rapidement ses limites lorsqu’il s’agit de gérer des situations complexes, sujettes à émotions, ou qui nécessitent un accompagnement personnalisé. La relation client reste avant tout une histoire de sensibilité, d’écoute active et d’intelligence émotionnelle, des qualités humaines difficilement reproductibles par des algorithmes, même les plus performants.
C’est pour cette raison que les entreprises doivent envisager l’IA comme un outil sur lequel capitaliser pour améliorer les capacités relationnelles, mais en aucun cas comme un substitut à l’humain. L’objectif est de libérer du temps pour les collaborateurs en automatisant les interactions à faible enjeu, et ainsi de leur permettre de se concentrer sur les échanges à forte valeur ajoutée, qui nécessitent impérativement l’intervention d’un humain.
Les organisations hybrides qui combinent IA et intervention humaine s’avèrent donc particulièrement pertinentes. Ce type d’approche permet en effet de concilier efficacité opérationnelle et qualité relationnelle. Il faut cependant, dans un souci de transparence et de satisfaction, que les utilisateurs soient informés clairement lorsqu’ils interagissent avec un robot ou un assistant automatisé, et qu’ils aient la possibilité de solliciter facilement un contact humain s’ils le souhaitent.
C. Écoute client et culture du feedback continu
Les échanges directs et spontanés avec la clientèle pouvant être amenés à se raréfier avec la digitalisation de l’expérience client, il est nécessaire de faire preuve d’écoute et d’optimiser la stratégie de feedback pour réussir à entretenir un lien durable avec les clients. Par ce biais, il est possible de mieux comprendre les attentes et ce qui constitue des points de blocage ou de frustration, mais aussi de construire communément avec les clients des parcours et des expériences plus adaptés.
Les fondements de l’écoute client reposent sur une démarche structurée et proactive, qui intervient à chaque étape du parcours client. Plusieurs méthodes peuvent alors être mises à profit à différents moments pour recueillir des informations, comme les questionnaires de satisfaction suite à des interactions, les enquêtes à chaud ou à froid, les analyses des verbatims issus du service client, le monitoring des commentaires sur les réseaux sociaux, ou encore les études qualitatives plus approfondies.
Ces programmes d’écoute de la voix du client permettent aux entreprises d’identifier rapidement les points de friction, de détecter les signaux faibles, mais aussi de valoriser les éléments les plus appréciés dans l’expérience client digitale. Il s’agit donc d’un excellent outil dans une optique d’amélioration continue, puisqu’il alimente directement les réflexions stratégiques et les plans d’action opérationnels.
Dans un souci de pertinence et d’efficacité, cette écoute active doit s’accompagner de la capacité à transformer les feedbacks en actions concrètes et visibles. L’un des problèmes les plus courants est que les clients ne perçoivent pas d’évolution ou d’amélioration après que leur avis a été sollicité. Il est pourtant primordial de se montrer transparent dans la prise en compte des retours clients pour renforcer leur confiance et leur engagement.
Les marques ont donc tout intérêt à instaurer un véritable dialogue avec leurs clients, en les remerciant pour leurs contributions, en leur expliquant les évolutions mises en place sur la base de leurs suggestions, et en les impliquant dans des démarches de co-création ou de beta-testing lorsque cela est pertinent. Cette approche participative renforce le sentiment d’appartenance et favorise la fidélité.
Il faut également bien avoir à l’esprit que la culture du feedback ne concerne pas uniquement les clients, elle doit aussi inclure les retours des collaborateurs pour instaurer une véritable culture client dans l’entreprise. Sensibiliser ces derniers à l’importance de l’écoute active, les impliquer dans l’analyse des retours clients, mais aussi valoriser les initiatives sont des bonnes pratiques qui participent directement à l’amélioration de l’expérience client digitale.
Pour aller plus loin :
Afin de vous aider à optimiser pleinement le potentiel de votre expérience et de votre relation client digitale, nous vous invitons à consulter également notre article consacré à la qualité de service, qui constitue un facteur prépondérant pour réussir à augmenter et à renforcer la satisfaction client à l’ère du numérique.